| Dernières réponses | |  Je me tien sous ma vrais forme, observant ce monde. Je le regarde avec nostalgie en repenssant à ce qui s'y est passé. Les anecdotes, les jeu, les rires, et les larmes.
*Ce monde se fend, se brise. Come un dieu sans adorateur, un rêve vide ne peu subsister. La fin. Deserté et vide, se monde disparait...*
Les fils de la réalité s'éfiloche, le ciel se brise comme du verre, le terre s'ouvre, deverssant sons fleu de feu. Les forets meurent, la vie fini de disparaitre. Le néant reprend le dessu. Les abords du monde s'éfritent laissant place au vide, tout est engloutit peu à peu. Des orage éclates des les reste des cieux. La foudre balait le sol, l'eau des lacs et des mers disparais, ou deviens feu. Et dans ce monde a l'agonie je reste.
*Je l'accompagnerais vers la fin comme on reste avec un ami sur ses derniers instants. Lorsqu'il ne resterat plus rien je partierais...*
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